Toulouse et Rennes sacrés au Société Générale Sevens !

Toulouse et Rennes sacrés au Société Générale Sevens !

La 3ème édition du Société Générale Sevens, a livré son verdict : l’Université Paul Sabatier Toulouse en féminines, l’Université Rennes 2 chez les garçons et l’INSA Toulouse en Ecoles masculines sont devenues Champions de France Universitaires 2016 de rugby à 7!

Les réactions :

Elise GILBERT (Société Générale) : « La Société Générale s’apprête à fêter son trentième anniversaire d’union avec la FFR l’année prochaine. Sur le 7, nous sommes partenaire exclusif depuis 2001 car nous avons toujours cru au développement du 7. C’est une discipline plus accessible pour les scolaires comme pour les universitaires. Pour la troisième année consécutive, nous sommes en association avec la FFSU et la FFR pour développer ce grand rendez-vous universitaire qui permet d’allier le côté spectacle du 7 tout en gardant les valeurs propres au rugby et à la Société Générale. Et en plus, pour la seconde fois à Vannes, nous trouvons une météo hallucinante, avec un événement baigné de soleil, c’est parfait. »

Vincent ROGNON (directeur national de la FFSU) : « Dans un calendrier universitaire déjà très riche au niveau rugby, le Sevens Société Générale a pleinement trouvé sa place, à une bonne date dans le calendrier qui plus est, avant les examens notamment. La seconde édition organisée à Vannes est encore plus réussie que la première même. On bénéficie en plus d’une forte implantation rugby dans une ville dont le club local monte en Pro D2. Le 7 est en plus, une pratique d’avenir, très développée chez nous. Il nous apporte 1000 pratiquants universitaires de plus et le nombre d’équipes de 7 inscrits dans nos compétitions ne cesse d’augmenter, comme le niveau global de la compétition. »

Guénael DUPLENNE (vainqueur avec Rennes 2) : « Je suis l’imposteur de l’équipe car je n’ai pas pu m’entrainer beaucoup avec mes coéquipiers cette année. En revanche, cette victoire prend encore plus de sens pour moi, car je m’entraîne sur cette pelouse de Courtel et je joue à Vannes. Monter en Pro D2 avec le club puis devenir champion de France Universitaire avec les copains de la fac, c’est énorme. C’est d’autant plus plaisant pour moi, mais il faut remercier les copains qui ont été formidables, car notre titre n’était pas prévu. Depuis les quarts, on s’arrache, mais ça montre la cohésion de l’équipe. On gagne chez nous, l’organisation était parfaite, le fête sera d’autant plus belle. »

Claire BEAUPARLANT (vainqueur avec Toulouse 3) : « Comme l’année dernière, on a été super bien accueillies à Vannes. L’organisation était super, le rendez-vous universitaire a pris une autre dimension avec ce rendez-vous sur deux jours, c’était une grande fête et en plus, on a gagné. L’année dernière, on avait échoué en finale, mais cette année, on s’est concentré sur chaque match l’un après l’autre. Les filles n’évoluent pas dans le même club, elles se partagent entre le Stade Toulousain et Blagnac, mais quand on avance toutes dans la même direction, ça marche et on gagne même le titre au final. »

François DUVIGNACQ (vainqueur avec l’INSA Toulouse) : « Tout était parfait. Nous n’étions pas venus les deux dernières années, on a donc découvert cette année le Sevens Société Générale, mais c’est vraiment une belle fête, une super organisation et en plus il fait très beau en Bretagne. Pour nous aussi, c’était une réussite. On est un groupe de copains, on s’entraîne depuis quatre ans ensemble, avant l’entraînement, on pratique un peu le rugby à 5, qui se joue dans le même esprit que le 7, et on a bénéficié des conseils d’un entraîneur de talent avec Philippe Ducousseau. On allie sport, rigolade et surtout un super état d’esprit car ce titre, on le doit à notre esprit de groupe. Les deux dernières saisons, l’INP l’avait emporté, cette fois c’est l’INSA, mais le titre reste à Toulouse. »

Daniel SOULIE (entraîneur de l’équipe de France féminine à 7 universitaire) : « Le niveau du championnat de France évolue d’année en année. Les matches sont de qualité et on peut même découvrir à cette occasion de nouveaux talents. C’était top et ça montre le dynamisme du rugby féminin et du 7 en général. J’entraînais Bordeaux, on échoue en finale, car on manquait de finisseuse, mais il faut d’abord garder à l’esprit la qualité de la compétition et de l’organisation. »

Lenaig CORSON (internationale à 7) : « Je suis venue en voisine car je suis originaire de Guingamp, je joue au Stade Rennais et on m’a proposé de donner le coup d’envoi de la finale féminine. En plus, il faisait beau, comme toujours en Bretagne. J’étais aussi la première supportrice des équipes rennaises. Je m’entraîne parfois avec les garçons, quand je repasse à Rennes, ils méritaient leur victoire. J’avais déjà participé à cette phase finale du Sevens, en 2009, mais l’événement a beaucoup évolué depuis avec l’investissement de la Société Générale. Il y avait même moyen de récupérer grâce à la cryothérapie ! Quant au niveau de la compétition féminine, quelle évolution par rapport à 2009 justement. C’est plus cohérent, plus fluide, plus technique, ça va vite et les filles sont de vraies sportives. »

Mathieu VOISIN (joueur de Paris Dauphine et champion olympique de la jeunesse à 7 en 2014) : « Je n’ai pas l’occasion de jouer avec mes copains de Dauphine sauf ici, alors j’en ai profité. C’était la seule fois dans l’année et c’est un superbe événement pour le rugby universitaire et le 7 aussi. J’ai essayé d’apporter quelque chose à mon équipe par ma connaissance du 7 et surtout, j’encourage vivement tout le monde à le pratiquer le plus possible. Pour progresser, il n’y a rien de mieux. On en fait l’expérience, quand on a la chance, comme je l’ai eu, de passer par le Pôle France où l’on pratique le 7car c’est aussi grâce à ça, que l’on peut évoluer et s’améliorer. »

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